Symbole de l’esprit sportif et du plaisir de conduire, le coupé-cabriolet Mercedes SLK reçoit pour la première fois une motorisation Diesel. Cette version 250 CDI conserve des performances de premier plan pour une consommation record limitée à 4,9 litres/100 km !
Qu’ils soient au format 4 cylindres en ligne, V6 ou V8 , les différents moteurs reçus par le coupé-cabriolet Mercedes SLK depuis sa sortie en 1996 fonctionnaient tous au sans-plomb. C’est donc un événement que l’arrivée dans la gamme de ce modèle restylé en début d’année d’une version alimentée au gazole.

Le SLK 250 CDI possède en effet sous le capot un bloc 4 cylindres Diesel de 2143 cm3 développant 204 chevaux et 500 Nm de couple.

Bien évidemment, les performances n’ont pas été négligées. Avec la boîte automatique 7G-Tronic Plus dont il est doté, ce SLK passe de 0 à 100 km/h en 6,7 secondes et atteint la vitesse maximale de 243 km/h.

Mais le plus spectaculaire -et c’est là la raison principale de l’implantation d’un tel bloc sur ce modèle- vient des chiffres de consommation : 4,9 litres/100 km seulement selon Mercedes, ce qui correspond à des émissions de CO2 de 128 grammes/km. Pour arriver à un tel niveau, le Stop & Start est bien entendu de série, comme sur les autres versions du SLK.
Pour le reste, rien ne diffère ce SLK 250 CDi des versions essence, qui peut recevoir le toit panoramique vitré Magic Sky Control et trois versions différentes de suspension, plus ou moins sportives. Mercedes précise même que la double sortie d’échappement est conservée, pour ne pas altérer l’esprit sportif de ce modèle.

Le nouveau Mercedes SLK 250 CDI sera commercialisé à partir du 13 septembre au prix de 42 000 euros environ. Son principal concurrent, la BMW Z4, ne possède pas (encore ?) de version Diesel. C’est au contraire le cas de l’Audi TT Roadster, en version 2.0 TDI Quattro, vendu 42 850 euros mais qui ne dispose sous le capot que de 170 chevaux.

Par Manu