Au moment où on se réjouit de l'initiative du gouvernement ivoirien de réhabiliter le pont de Gaulle, on jure par tous les saints en passant sur ce pont dans le sens Plateau - Treichville.
En effet, en terminant les déviations, tous les automobilistes dans les deux circuits imposés, tombent sur de gros trous. Et, c'est le cafouillage dans tous les sens. Parce que personne ne veut faire tomber son engin dans un trou. Et pas n’importe lequel ! A la fin des déviations, en effet, on a affaire à des trous d'un mètre de diamètre au moins, et de la profondeur d'un pneu. Plusieurs conducteurs ont fait les frais de cette dégradation prononcée des voies à ce niveau.
Dans l'après-midi du mercredi 17 juin 2015, un automobiliste n'a pu éviter le plus grand de ces trous. Et paf ! La suite est que son véhicule n'a plus redémarré, créant un embouteillage à cette sortie des déviations. Question ? N'est-il pas possible de verser le semblant de bitume cassé juste à côté, dans ces trous, même si l'envie de réparer n'existe pas encore? Parce que si c'est au terme de la réhabilitation du pont De Gaulle (prévue dans cinq mois) que cette partie de la route doit être réparée, alors il faut craindre le pire. ... suite de l'article sur L’Inter