Il y avait foule jeudi dernier dans le showroom Europ’Auto à Marcory-Zone 4. Officiels, cadres du privés et du public, ainsi que des hommes d’affaires ont accouru nombreux pour découvrir la nouvelle sortie de Nissan. Et ils n’ont pas été déçus devant l’élégance et les fonctionnalités de ce qui peut être « la nouvelle reine des routes abidjanaises ».
Quoi de plus normal qu’une reine, celle de la beauté ivoirienne pour inaugurer « la nouvelle reine des routes » : la Nissan Kicks. Miss Côte d’Ivoire s’est assise fièrement dans son nouveau véhicule de couleur rouge imposante, après avoir brandi fièrement les clés de ce nouveau-né de Nissan. Comme de nombreux autres VIP présents, Miss Mandjalia Gbané a d’abord assisté à la présentation de la Nissan Kicks.
Tour à tour, les responsables de ATC Comafrique, le concessionnaire, ont présenté la Nissan Kicks comme un véhicule « classe », « surprenant », « spacieux », « fiable »…et résolument engagé pour la « sécurité » de ses occupants. La Nissan Kicks, comme l’a dit Lucie Barry-Tannous la directrice générale de ATC Comafrique et ses collaborateurs, a misé non seulement sur le « style » mais aussi sur les technologies d’aujourd’hui et du futur. Ce qui rend la voiture « futuriste », ont-ils vanté.
Pour le prix, cela peut paraître comme un détail. Puisque les intervenants ne se sont pas attardés là -dessus. Comme s’ils voulaient dire que ça ne coûte rien…à côté de « l’intensité » du plaisir qu’offre la Nissan Kicks. Ce n’est peut-être pas faut ! La communication commerciale dit en effet que cette voiture peut s’obtenir « à partir de 315 000 CFA par mois ». Et ce n’est pas tout. Il y a des établissements financiers prêts à accompagner les futurs acquéreurs. Fidelis, l’un d’entre ces financiers, n’a pas manqué l’occasion de dresser son stand au milieu des convives.
De là à penser que la Nissan Kicks peut devenir « la reine de toutes routes ivoiriennes », il y a peut-être un centimètre… que ATC Comafrique ne veut pas rater. Son ambition d’ouvrir des représentations à San-Pédro, Yamoussoukro et Bouaké, va en tous cas dans ce sens. Il en est de même du combat qu’il mène pour que la voiture d’occasion soit moins présente dans la circulation, pour que le véhicule neuf soit vraiment roi. Sa motivation avouée ne manque pas d’intérêt : diminuer la pollution due au gaz d’échappement.
Barthélemy KOUAME
barthelek@acturoutes.info